Le squat demeure une plaie pour de nombreux propriétaires en France. Malgré les réformes successives, l’occupation illégale de logements continue de provoquer des drames humains, des préjudices économiques et un sentiment d’impuissance face à une administration lente et désorganisée. Le décret EXPLOC du 16 avril 2025, récemment promulgué par le gouvernement, entend remédier à cette situation en renforçant la coordination des expulsions de squatteurs. Une mesure saluée sur le papier… mais dont les effets concrets tardent à se faire sentir sur le terrain. Alors, faut-il vraiment attendre l’action des préfectures pour se protéger ? Ou existe-t-il une réponse immédiate et efficace contre le squat ?
Un décret attendu face à la montée du squat
Face à l’explosion des occupations illégales de logements en France, notamment dans les zones urbaines sensibles, l’État a réagi par voie réglementaire. Le décret du 16 avril 2025, baptisé EXPLOC, vise à améliorer la coordination des expulsions de squatteurs et à renforcer l’action des préfectures.
Ce texte a été présenté comme une avancée significative pour les propriétaires lésés. Mais une question demeure : dans les faits, ce décret change-t-il vraiment la donne ?
Le contenu du décret EXPLOC du 16 avril 2025 : objectifs et promesses
Le décret EXPLOC prévoit principalement :
- La centralisation des dossiers d’expulsion à l’échelle préfectorale ;
- Une accélération des délais d’instruction via des cellules spécialisées ;
- Une meilleure coordination entre forces de l’ordre, préfectures et collectivités ;
- L’instauration d’un référent « expulsion » dans chaque préfecture.
Sur le papier, l’objectif est clair : fluidifier les procédures et désengorger les délais, tout en garantissant le respect des droits fondamentaux.
Des intentions louables… confrontées à la réalité du terrain
Dans les faits, les lenteurs administratives persistent. Les retours des juristes, avocats spécialisés et associations de propriétaires sont unanimes : les améliorations sont marginales.
Malgré l’existence du décret, les délais d’expulsion dépassent souvent 3 à 6 mois, même en cas de flagrant délit de squat.
Les préfectures, déjà surchargées, peinent à absorber les nouvelles directives. Résultat : les dossiers s’accumulent, les décisions tardent, et les occupants illégaux prolongent leur présence sans réelle opposition.
L'inaction préfectorale : un fléau pour les propriétaires
Le véritable problème réside dans l’écart entre les textes et leur application effective. Le décret EXPLOC ne donne ni moyens humains, ni budgets supplémentaires aux préfectures, rendant son application difficile, voire théorique.
Pendant ce temps :
- Des propriétaires ne peuvent ni vendre, ni louer leur bien ;
- Des logements restent dégradés et inhabités pendant des mois ;
- Des familles voient leur patrimoine mis en péril.
Les limites du décret EXPLOC en pratique
Coordination ≠ Exécution
Aucune garantie de délai
Le décret améliore la structuration des procédures, mais pas leur vitesse d’exécution.
Procédures toujours lourdes
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Avantages | Détails |
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100 % légale | Conforme au droit, sans risque pour le propriétaire |
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Location flexible | Tarifs mensuels adaptés à la durée souhaitée |
Évite la procédure d’expulsion | Le squat est empêché avant même qu’il ne commence |
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